Projet de fin d'étude : Dessalement de l'eau de mer : méthodes conventionnelles et avancées

Etudiant : HAMZA MSADIE

Filière : LF SMC - Option Chimie Bio-Organique

Encadrant : Pr. TOUNSADI HANANE

Annèe : 2021

Résumé : Avec le changement climatique, l'eau douce devient de plus en plus rare. Une pénurie d'eau potable touche donc plusieurs millions des personne sur la planète. La vitalité de l'eau douce oblige à trouver des solutions face à cette pénurie. Parmi les solutions possibles la purification des eaux usées, le pompage dans les nappes phréatiques, le dessalement des eaux saumâtres et le dessalement de l'eau de mer. Ce dernier semble prometteur en raison der l'abondance de l'eau der mer qui occupe près de 75% de la surface terrestre. Le dessalement de l'eau de mer utilise conventionnellement les méthodes dites thermiques et les méthodes dites membranaires. Les méthodes thermiques les plus utilisées sont la distillation à simple effet, la distillation multi-effets et la distillation à compression de vapeur tandis que les méthodes membranaires les plus utilisées sont la microfiltration, l'ultrafiltration, l'électrodialyse et l'osmose inverse. Ces méthodes conventionnelles ont comme inconvénients principaux une forte consommation d'énergie et le colmatage des membranes. Pour remédier les problèmes rencontrés dans les méthodes conventionnelles des nouveaux matériaux avancés à échelle nanométrique sont élaborés. Ces nanomatériaux permettent une meilleure filtration, une réduction du coût de dessalement et un bon rendement. Parmi ces nanomatériaux on trouve les nanotubes de carbone, l'e dioxyde de zinc, le dioxyde titane et le nitrure de bore.