Etudiant : LAHLIMI KHITAM

Filière : LF SVI - Option Physiologie-Pharmacologie

Encadrant : Pr. GUEMMOUH RAJA

Annèe : 2021

Résumé : Nul ne remet en cause l’intérêt et le bien-fondé de lutte biologique et de l’introduction d’auxiliaires exotiques dans le cadre de la mise en place d’une agriculture et d’une conservation durable, Où l’introduction de nouveaux auxiliaires est nécessaire dans un but de recherche et dans un but commercial à condition de prendre un minimum de précautions au travers d’une recherche scientifique performante et d’une réglementation adéquate. C’est ni trop permissive, ni trop contraignante. L’utilisation de certains pesticide très controversés, en quantités de plus en grandes pour contrer le développement de résistantes chez les ravageurs, est des problèmes qui à soulevé des questionnements, autant de la part de la population que de celle des agriculteurs. En comparaison à la plupart de ces pesticides, l’utilisation des auxiliaires est beaucoup plus écologique, plus sécuritaire et plus spécifique. La lutte biologique afin de considérer toutes les facettes et interactions entre l’auxiliaires, le ravageur et leur environnement, lui semble une alternative écologique aux pesticides chimique, utilisable dans nombreux contextes, elle fait ses preuves partout dans le monde. Par ailleurs, la lutte biologique ne peut convenir à toutes les situations de protection, il ya plusieurs cas où elle ne peut fonctionner. Malgré tous les inconvénients des pesticides, ces dernières sont bien ancrées dans la culture agricole, il est nécessaire que la lutte biologique se développe encore plus et que les consommateurs et les agriculteurs aient une compréhension complète des problèmes auxquels ils se rapportent. Sinon, la lutte biologique restera ce qu’elle est encore de nos jours, soit une méthode de lutte noble mais marginale, étouffée par un nuage de pesticides.